Retrouver un état de relaxation, décompresser, faire le bilan
Ces séances s’adressent à toutes celles et ceux qui désirent, en deux heures, retrouver un état de relaxation certain, décompresser, faire le bilan et ce, sur tous les plans. Et peut-être résoudre des problèmes qui ont des répercussions sur leur santé et ce, à tous les niveaux.
En prenant la décision de « faire connaissance » avec cette séance, vous n’encourez aucun risque, tant sur le plan de la santé, que sur le plan financier, puisqu’elle vous est proposée au prix de 30 € .
Au cours de cette séance et pour atteindre cet état de bien-être tant convoité, la phrase du Docteur USUI est appliquée ici dans un sens large. Nous rappellerons à cette occasion que USUI est le Maître qui a retrouvé, regroupé et mis en forme les techniques d’une discipline qu’il a lui-même appelée « Reiki ».
On n’utilise ni médicament, ni instrument. Tout ce que l’on fait, c’est regarder, souffler, frotter légèrement, tapoter (légèrement) et toucher. Voilà ce qui guérit la maladie.– Docteur USUI
En pratique
Nous utilisons différentes techniques. Acupressure, étirements, relaxation, imposition des mains ou Reiki… mais également et surtout, nous laissons s’exprimer la personne, écoutons avec une grande attention ses remarques, réflexions et prenons en compte le récit de ses sensations.
Une telle séance s’effectue toujours de manière individuelle et après avoir pris un rendez-vous téléphonique. Les horaires sont ouverts pour les séances bien-être, sous réservation, seulement par téléphone.
Programmation d’une journée en conscience
Vous trouverez ci-dessous la possibilité de vivre autrement votre journée, avec plus de détente, de joie et de conscience.
Nous allons poser le postulat selon lequel une journée est une initiation et ce, pour plusieurs raisons :
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- Même si un jour semble ressembler au précédent, en réalité, il est différent. En effet, on ne vit jamais deux fois la même chose, on ne se trouve jamais deux fois exactement devant la même situation.
- Chaque jour peut être considéré comme une expérience, car, même si on rencontre les mêmes personnes aux mêmes lieux, leur comportement est différent suite à leur propre expérience du jour passé.
- Puisque chaque jour est une expérience, il faut que nous tirions un profit de ce que nous avons appris (à ses dépens ou non) à l’issue de ces épreuves.
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Puisque nous sommes partis du postulat selon lequel une journée était une initiation, nous devons admettre que cette journée commence et se termine par un « rituel« . De même, tout au long de celle–ci, nous suivrons un parcours que nous avons fié au préalable: un « chemin » et nous allons choisir des moyens appropriés pour que tout se passe pour le mieux : une « voie ».
D’ailleurs, si nous y réfléchissons bien, ce « rituel » existe déjà, puisque chaque jour, que ce soit au réveil, aux moments des repas, au coucher, nous faisons toujours les mêmes choses dans un même ordre. Par conséquent, au lieu que ce « rituel » soit le fruit de « la force d’habitude », comme le disent les maîtres du zen, nous allons consciemment le mettre en place, le codifier.
Lorsque le réveil sonne, il est conseillé de ne pas se lever tout de suite, mais de mettre cette période à profit pour préparer la journée :
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- Tout d’abord, il convient de bien s’étirer comme le font les chats (étirer les jambes, les bras, bien sentir que la colonne vertébrale s’étire également), prendre son temps pour d’tirer car cette étape est important.
- Puis, toujours allongé sur le dos dans son lit, on pratique quelques respirations profondes sans rétention d’air. Nous prenons alors conscience que nos sens se réveillent et que tout doucement, nous passons du monde subjectif des idées (des rêves) à celui objectif de la réalité.
- Ensuite, toujours allongé sur le dos, nous allons maintenant fixer précisément le programme de notre journée et ce, du lever, jusqu’au coucher tout en visualisant ce que nous allons faire (exemple à 8 heures, je vais prendre mon bus, à 9 heures j’ouvre la porte du restaurant, du bureau …).
- Enfin, vient le moment de se lever; il faut le faire de façon décidée mais pas brusque.
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Depuis, que le réveil à sonné, il s’est écoulé environ un quart d’heure.
Vient maintenant le moment du petit déjeuner. Il ne faut pas le prendre de façon précipitée et ce, pour éviter le stress et donc la fatigue. Désormais, nos pensées vont être dirigées vers ce que nous allons manger, boire, rien d’autre. En effet, nous devons prendre le temps d’apprécier ce que nous allons consommer (goût, odeurs). Si pendant cette période, une pensée négative (parasite) nous parvient, nous l’accueillons et la laissons passer. Il est possible de la visualiser sous la forme d’un nuage. Nous ne devons surtout pas nous y attacher (réfléchir dessus); nous vivons « ici et maintenant« . Le terme « ii » signifiant qu’il ne faut pas poursuivre une pensée.
Puis, lorsque le petit déjeuner est terminé, il faut débarrasser la table car, le désordre perturbe toujours la pensée : l’œil se portera toujours dessus et nous fera toujours penser ce que nous aurons à faire et que nous n’avons toujours pas fait.
Maintenant, c’est le moment de faire notre toilette. Là également, nous restons pleinement conscient des gestes que nous accomplissons et des sensations que cela procure : nous apprécions le contact de l’eau qui finit de nous réveiller, nous apprécions le fait de bien respirer (inspirer par le nez en allant chercher l’air dans le ventre). Le sentiment de bien–être, le bonheur commencent par là.
Enfin, avant notre départ pour le travail, nous allons prendre le temps de faire notre séance de yoga, dont la durée est variable selon les dispositions de chacun. Dans l’hypothèse où le temps nous est compté ou que nous nous sentons fatigués, nous pratiquerons tout de même un relax clair :
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- S’asseoir sur une chaise, sans s’appuyer sur le dossier
- Tête et dos droits;
- Pieds bien à plat au sol;
- Mains posées sur les genoux ou sur les cuisses, paumes tournées vers le bas
- Respirer profondément, lentement, doucement
- Se concentrer sur sa respiration: nous sommes à l’écoute de nous–mêmes et pouvons imaginer que nous sommes dans un lieu que nous apprécions. Il est important de créer ce sentiment subjectif de bien–être. Ceci est important, car il va conditionner notre comportement de toute la journée.
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Après une période d’environ 10 minutes, mais cela peut être plus, tranquillement, nous nous préparons à partir.
Pendant notre déplacement, nous allons marcher tranquillement, d’un pas rythmé (il ne faut pas oublier que, dans la nature, tout est rythme : les saisons, le cœur …). Nous allons pratiquer la respiration consciente, ce qui empêchera que notre mental ne s’égare et n’accueille des pensées négatives et durant le parcours, nous apprécions où nous sommes, ce que nous sommes et ce que nous ressentons « ici et maintenant« .
Cela va calmer notre « moi », celui–là qui est à la source de notre énervement lorsque quelqu’un nous bouscule, même légèrement dans la rue … celui–là même qui nous fait nous quereller pour un rien.
Ayant ouvert la porte, avant d’entrer, il est important, d’un regard, de balayer toute la pièce dans laquelle nous allons travailler et ce, avant d’y faire nos premiers pas. Cela nous permet d’y entrer en pleine conscience et de bien prendre la mesure de la tâche qui nous attend sans se laisser absorber pour autant.
Puis, après avoir salué tout le monde et avant de s’enquérir de quoi que ce soit, nous continuons à nous occuper de nous–mêmes : nous rangeons nos affaires à leur place, nous nous changeons si besoin est.
Après avoir effectué une bonne respiration bien profonde, nous sommes maintenant prêt à vaquer à nos occupations.
Nous devons toujours avoir une vision supérieure des choses afin, non seulement, de mieux les appréhender, mais également, pour prendre une certaine hauteur et ne pas donner plus d’importance à un événement, à une réflexion qu’ils n’en ont réellement.
Ainsi, il est important de :
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- Marquer un temps d’arrêt pour regarder la pièce dans laquelle nous œuvrons, mais avec un sentiment de domination.
- Si quelqu’un nous fait une remarque, s’arrêter de faire ce que l’on fait (ne jamais faire 2 choses à la fois, la perturbation peut amener une mauvaise réponse ou un mauvais comportement), prendre le temps de bien se positionner dans sa direction, bien le regarder et lui répondre. Cette attitude va surprendre notre interlocuteur, le décontenancer et l’apaiser. La prochaine fois, il réfléchira avant de s’adresser à nous.
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Enfin, dès que nous le pouvons, n’hésitons pas à nous asseoir pour pratiquer un relax éclair (les toilettes peuvent être un lieu propice).
Avant de quitter notre lieu de travail, nous regardons une dernière fois la pièce dans son ensemble avec le sentiment du devoir accompli. Après avoir effectué une respiration profonde, nous tournons les talons.
Dès que nous avons fermé la porte de notre appartement, ne plus penser à ce qui s’est passé auparavant et surtout ne pas anticiper sur la journée suivante.
Nous nous déchaussons en assimilant nos chaussures à nos soucis. En abandonnant nos chaussures, nous laissons de côté nos soucis.
Après une respiration profonde, nous nous dirigeons vers une chaise ou un tapis et nous pratiquons pendant quelques instants, une relaxation avec le sentiment qu’on est bien, que rien maintenant peut venir nous déranger et qu’il ne peut plus rien se passer jusqu’à demain.
Après cette période transitoire nous pouvons vaquer à nos occupations et ce, toujours en pleine conscience.
Il est important de créer une atmosphère qui nous mette dans des bonnes dispositions (musique, encens, lumière appropriée …), car, se sentir bien, c’est être bien.
Avant de se coucher, nous allons pratiquer une méditation afin d’éliminer toutes les tensions de la journée.
Avant de s’endormir, allongé sur le dos dans son lit, nous allons passer en revue toute notre journée et faire le bilan:
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- Voir si nous avons bien suivi le programme que nous nous étions fixés le matin.
- S’arrêter sur telle ou telle situation pour savoir si nous avons bien réagi ou non, et dans la négative, voir ce que nous aurions dû faire.
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Les mains posées sur l’abdomen, nous nous concentrons sur notre respiration et nous attendons le sommeil en ayant de bonnes pensées en tête, car ce sont elles qui vont déterminer la qualité de notre sommeil.
Patrick NOBLET